silence, on vac*cine...
ce soir, mardi 9 décembre à 21h45, sera diffusé sur france 5,
un documentaire dont le sujet me touche tout particulièrement...
j'ai pas mal hésité à vous en parler, et je sais combien la question
est sensible et sujette à polémique, et combien l'ombre des lobbies pharmaceutiques
et du monde médical plane...
mais avec ce documentaire (que je n'ai pas vu je précise), je vous invite avec moi
à vous interroger sur les bienfaits méfaits de la vac*cination, parfois à outrance, sur nos tout-petits...
j'étais moi-même plutôt favorable à ce que mes enfants soient vac*cinés,
et ils l'ont d'ailleurs été, beaucoup, trop... seul nils est tenu à l'écart et n'a eu que le DTcoqPolio.
mon (ex-)pédiatre qui a beaucoup travaillé en afrique est par essence très favorables aux vac*cins,
et nous a poussé à en faire tout un tas, même ceux qui ne sont pas obligatoires...:
hépatites, méningites, ROR, varicelle...
sous prétexte que nous nous rendions souvent en asie...
le problème, c'est que nos enfants ne sont pas tous "égaux" face aux effets,
-parfois dévastateurs- de ces injections, supposées les écarter de tout souci de santé...
oui, le problème c'est que parfois l'organisme, attaqué, se mets en mode "défense",
et met l'enfant en sommeil... c'est le cas de certains enfants dont j'ai rencontré les parents
lors de colloques et de réunions auxquelles j'ai assisté pour mieux comprendre le sujet.
ces parents se sont retrouvés du jour au lendemain avec un autre enfant, un enfant différent,
qui regarde le mur, ne parle plus, ne mange plus seul, n'est plus propre...
et oui, cela arrive!
il existe un tas d'écrits sur la question des risques des vac*cins...
et il existe aussi un tas d'articles détracteurs de cette hypothèse...
l'important est de s'informer, de toujours garder les yeux ouverts!
souvenez vous de cet "éloge de la paresse" que j'avais évoqué sur mon blog,
un matin de mars 2006 au sujet de zéphir...
à l'époque, certaines d'entre vous m'avait dit, mais il doit avoir la grippe ton fils,
ou alors il couve sûrement quelque chose...
oui, pour couver, il couvait...
(petite parenthèse, c'est nils en brun non?)
et les billets qui suivaient ne parlaient plus que de gastro à tout va!
zéphir aurait eu une mauvaise réaction à la batterie de vac*cins administrés...
quelques semaines plus tôt...
et à cause du ROR son intestin a perdu son imperméabilité,
et il est depuis devenu intolérant à de nombreux nutriments (gluten, caséine...)
qui sont venus lui brouiller les cellules cérébrales...
le fameux axe intestin-cerveau...
nous en avions entendu parler, nous avions de gros doutes...
nous avons été fixés depuis que toutes les analyses faites par la suite
(depuis le mois de septembre) ont démontré que cela concordait... la boucle était bouclée...
c'est ainsi qu'à débuté un match contre la montre avec notre garçon...
un combat quotidien pour l'aider à récupérer,
lui qui était un bébé éveillé, curieux, qui avait commencé ses premiers mots,
ses premiers pas, tous comme les bébés de son âge...
aujourd'hui grâce à tous nos efforts au quotidien pour que zéphir aille mieux,
les résultats sont là, pas encore spectaculaires (quoique si l'on remonte un an plus tôt, ils le sont!)
car il faut du temps, beaucoup de temps...
mais le plus important c'est que la tendance soit inversée...
que notre fils fasse enfin sa "renaissance"!
to be continued...
SILENCE, ON VAC*CINE
Mardi 9 décembre 2008 à 21.45 FRANCE 5
"Les associations ont du mal à faire reconnaître et indemniser les
victimes, car le lien de causalité entre pathologies et vac*cin est
difficile à prouver. La polémique concernant les risques
accrus de développer une sclérose en plaques à la suite d'une
vac*cination contre l'hépatite B n'est pas morte. Illustré par des
témoignages douloureux et étayé par des explications scientifiques, ce
documentaire dérangeant propose de faire la lumière sur ces vac*cins
qui se transforment en poison dans un nombre croissant de cas.
Du mercure et de l'aluminium : ce sont les substances que l'on peut
trouver dans certains vac*cins administrés aux enfants de manière
récurrente dès leur plus jeune âge. Même si ceux-ci ont permis aux
sociétés occidentales de maîtriser des fléaux comme les hépatites, le
tétanos ou la poliomyélite, ce film avance qu'ils ont probablement
favorisé le développement de maladies neurologiques, dermatologiques
ou rhumatologiques. A Québec, les parents du petit Alexis, 2 ans et
atteint d'une encéphalite, en témoignent. Depuis qu'on lui a injecté
six vac*cins dans la même journée, Alexis « ne sait plus avaler, ne
sait plus parler, ne sait plus marcher ». Des études épidémiologiques
américaine, française et canadienne laissent penser que le mercure,
présent sous forme de conservateur dans certains vac*cins courants
comme l'antitétanique ou les antigrippaux, entraînerait des troubles
du comportement et du développement. D'autres vac*cins à base
d'aluminium cette fois, à l'instar des antihépatites, pourraient
provoquer des maladies neuromusculaires . Aurélie, une
jeune femme pleine de vie malgré sa maladie, explique qu'elle a
manifesté les premiers symptômes de la sclérose en plaques à la suite
d'une vac*cination contre l'hépatite B.
Rompre l'omerta sur la possible toxicité de certains vac*cins...
Bien que le nombre de victimes augmente, notamment parmi les
enfants, les associations ont du mal à les faire reconnaître et
indemniser, car le lien de causalité entre les pathologies et le
vac*cin est difficile à prouver. Aux Etats-Unis, Dan Burton, un membre
du Congrès, a ouvert une enquête parlementaire sur la nature des
produits contenus dans les vac*cins et leurs effets sur la population.
L'élu républicain regrette la négligence des autorités américaines,
qui ont avalisé la mise sur le marché de vac*cins dont la toxicité n'a
jamais véritablement été évaluée. Il explique en outre que l'industrie
pharmaceutique constitue « le groupe de pression le plus puissant de
Washington », ce qui rend toute évolution législative en la matière
impossible.
S'ajoutent à l'hostilité des acteurs économiques et à l'immobilisme
des politiques les réticences du monde médical à remettre en cause les
bénéfices des vac*cins. Des réactions alarmistes pourraient en effet
mettre en péril l'enjeu de santé publique que constitue la
vac*cination. Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national
d'information sur la vac*cination aux Etats-Unis, s'interroge sur le
caractère « utilitariste » de ces politiques de santé publique : «
Combien de personnes peut-on sacrifier pour le bien de la majorité ? »
Les victimes et les associations qui les défendent revendiquent le
droit d'être informées des produits contenus dans les vac*cins et des
risques encourus à la suite de leur injection. Ils émettent des
réserves concernant les contraintes légales de vac*cination et
réclament des indemnisations en cas d'effets indésirables invalidants.
Rompre l'omerta qui règne sur la possible toxicité de certains vac*cins
permettrait d'améliorer leur innocuité. Ce qui profiterait, d'une
part, à la santé publique et limiterait, d'autre part, les drames
d'individus qui développent une maladie en ayant voulu en prévenir une
autre.
Gaëlle Gonthier
Le thimérosal est un agent conservateur à base de mercure présent en
quantité infime dans les vac*cins antitétanique, antigrippaux,
antidiphtérique parmi d'autres. Selon certaines études, il pourrait
entraîner des troubles neurologiques, dont des comportements autistiques.
L'aluminium est un adjuvant présent dans les vac*cins antihépatites qui
permet de stimuler la réaction de l'organisme contre la particule
virale injectée lors de la vac*cination. Il favorise donc
l'immunisation de l'organisme vac*ciné. Au demeurant, ce composant
additionnel est soupçonné de favoriser le développement de maladies
neuromusculaires."
Documentaire
Durée 52'
Réalisation Lina B. Moreco
Production France 5 / office national du film du Canada / Play Film
Année 2008